ATTENTION : Cette critique contient des SPOILERS ! Ce jeudi dernier, à l’occasion d’une journée où je n’ai pas cours – quelle joie – je me suis rendue au Gaumont de ma ville afin de voir le film qui fait tant parler de lui : The Shape of Water , traduit littéralement par La Forme de l’eau . Réalisé par Guillermo Del Toro qui a aussi fait entre autres le super Labyrinthe de Pan, je ne pouvais qu’avoir extrêmement envie de poser mes yeux sur sa nouvelle œuvre atypique et sous le signe du bleu. Blue everywhere ! J’avais déjà longuement attendu l’arrivée de ce film aux yeux du grand public, ayant entendu parler du projet alors qu’il était encore en tournage. L’idée d’une relation atypique entre une femme et une créature totalement assumée m’intriguait. En toute honnêteté, je ne suis pas habituellement friande d’histoires d’amour à la limite de la zoophilie – second degré bonjour , bien entendu, je suis la première à connaître les musiques de La Belle et la bête par cœur –
Une passionnée qui écrit pour les passionnés.